Foire aux Questions (FAQ)
Cette Foire aux Questions avait été créée en 2011 et 2012. Même si plusieurs années ont passé à présent, nous avons préféré la laisser en l’état. Elle montre d’où nous sommes partis et où nous en sommes arrivés à force d’opiniâtreté : quand on veut, on peut…
- 1) Quels sont les objectifs du PSEJE ?
– Faciliter la pratique du Jeu d’Échecs dans les établissements liés aux domaines des scolaires, de la santé, du handicap, de l’animation, etc.
– Donner enfin des outils aux Intervenants et Animateurs Échecs leur permettant de lancer de vastes actions citoyennes et inter-générationnelles sur le territoire français.
– Créer une « Cellule de veille documentaire » qui orchestrera la collecte, le traitement, la synthèse, le classement et la diffusion de documents relatifs au développement de notre discipline.
– Recenser les Ressources Humaines de la planète Échecs.
– Échanger grâce à un site internet participatif http://pseje.com.
– Lancer une « Cellule Emplois » qui recensera les offres et demandes d’emplois au niveau national.
- 2) 450 à 550 euros pour une formation ADDJE (Agent de Développement et de Dirigeants du Jeu d’Échecs) de 3 jours c’est cher non ?
Nous ne savons si vous imaginez le temps et le nombre de mois qu’il a fallu pour créer ne serait-ce que cette veille documentaire et ensuite les documents s’y rapportant… Le reste se compte en années.
Nous ne percevons, pour le moment, ni subvention (par exemple pour la FFE 74 000 euros du ministère et 215 000 euros de BNP (2016/2017 NDLR : ce sont les chiffres de 2007 à 2015), ni les importantes sommes d’argent que représentent annuellement le coût des licences des joueurs d’échecs (par exemple en France 970 000 euros dont 470 000 reversés aux ligues), et pourtant nous allons y arriver avec un peu (beaucoup !) d’énergie.
Par ailleurs, si on compare avec les coûts des formations professionnelles d’une manière générale, c’est un tarif dans la fourchette (très) basse.
Jusqu’à présent cette formation n’existait pas et a priori elle est unique en France. Par ailleurs elle permet d’obtenir des financements pour créer des emplois tout en développant le Jeu d’Échecs.
Cette formation inclut tous les documents que vous pourrez présenter à votre ville, département et région. Ceux-ci vous permettront de vous orienter vers de nombreux domaines d’intervention.
Elle inclut également un suivi de vos actions pendant une année (à partir d’une fiche de mission).
Finalement il existe plusieurs possibilités de prise en charge de la formation :
– Pour les salariés, cette formation peut-être pris en charge via le D. I. F. (Droit Individuel à la Formation) (2016/2017 NDLR : C’est devenu en 2016 le CPF – Compte Personnel de Formation) financé par l’employeur ou son organisme collecteur. Le temps de la formation peut-être pris sur le temps de travail ou être effectué en dehors (R. T. T. , congés, cours du soir). Dans ce second cas l’employeur est tenu de verser une allocation de formation égale à 50% de la rémunération de référence du salarié.
– Pour les personnes en recherche d’emploi, le Pôle Emploi prend systématiquement en charge la formation.
– Pour les étudiants, une inscription de 6 mois au Pôle Emploi au cours des 18 derniers mois, leur donne les mêmes droits que les personnes en recherche d’emploi.
– Pour les auto-entrepreneurs et autres indépendants cette formation est prise en charge par l’AGEFICE (association de gestion du financement des chefs d’entreprise)
– Pour les personnes n’ayant pas encore ouvert de droit aux Assedic, des dispositifs initiés par les Régions et le Pôle Emploi existent (par exemple CARED en Rhône-Alpes).
- 3) Pourquoi avoir créé une formation IEPA (Intervenant Échecs Pro Animation) pour les intervenants et animateurs ?
Cette formation visait à moyen terme à la professionnalisation des animateurs. Elle comprend quantité de retours d’expérience. Elle avait été créée de 2010 à 2013 pour lancer une prise de conscience des Dirigeants de la Fédération Française des Échecs (FFE)… Puis, peu à peu, après l’arrivée de l’un des membres fondateurs du PSEJE au Comité Directeur de la FFE (avril 2013), nous avons décidé de glisser en ligne un important ensemble de documents sur le site du PSEJE mais aussi sur le site de la Fédération.
Comme dans tout domaine professionnel les salariés doivent être formés de manière professionnelle et adaptée. La plupart des intervenants des autres disciplines sont titulaires de diplômes d’Etat ou de CQP (18 à 100 jours de formation), bien en avance sur nos diplômes fédéraux (2 à 5 jours de formation). Dès 2011, nous avions réalisé un programme complet et distribuions un support d’environ 300 pages. A présent c’est encore plus conséquent et nous avons mis 800 pages en ligne sur les 2 000 pages de documents existants…
Nous échangeons actuellement avec le Pôle Emploi, Uniformation, la Direction Régionale de la Cohésion Sociale (Jeunesse et Sports) et la Commission Nationale de la Certification Professionnelle.
En effet, après que nous ayons formé un peu plus de 60 personnes entre 2010 et 2011 (via les clubs d’Échecs traditionnels), des dirigeants de clubs, de comités d’Échecs d’autres régions, mais aussi des agents de conseillers généraux (départements) et du ministère de la Cohésion Sociale nous indiquent que sans carte professionnelle, sans Brevet d’État (et pourtant même avec des diplômes fédéraux), aucun des animateurs Échecs ne peut prétendre à une rémunération. Détail qui a son importance puisque ce serait l’effondrement des activités Échecs rémunérées dans la plupart des secteurs liés à Jeunesse et Sport ainsi que l’effondrement des subventions. Quelques départements accordent des délais ou des dérogations mais tout devient urgent… Cette urgence l’était sans doute dès l’obtention de l’agrément de Jeunesse et Sport, soit le 19 janvier 2000… Ainsi nous comprenons que la structuration des diplômes fédéraux et l’obtention d’une carte professionnelle pour les intervenants doit devenir, coûte que coûte, notre priorité.
- 4) 450 à 550 euros pour une formation IEPA (Intervenant Échecs Pro Animation) de 4 jours c’est cher non ?
A l’identique de la formation ADJE, si on la compare avec les coûts des formations professionnelles d’une manière générale, c’est un tarif dans la fourchette (très) basse… Mais si vous prenez le temps de visualiser la veille documentaire du PSEJE vous vous direz, sans doute, que le jeu en vaut la chandelle !
- Y aura-t-il des formations ailleurs qu’à Lyon ?
Selon toute vraisemblance, oui, à l’avenir, étant donnée la vocation nationale du PSEJE.
2016/2017 NDLR : Depuis ces 3 dernières années, il est plus que surprenant que 3 à 4 antennes ne se soient pas créées dans 3 à 4 régions et que des Intervenants Dirigeants n’est pas montés des Pôles PSEJE !
- 5) Vos formations sont t-elles reconnues ?
Pas pour le moment puisqu’il faut construire tout l’édifice, mois après mois, et prouver votre sérieux et le sérieux de vos formateurs… Mais c’est nous qui allons vous poser une question toute aussi centrale en retour (!) : Avec ces deux formations pourrais-je être embauché quelque part ou construire mon emploi ?
Assurément oui ! Si vous analysez la veille documentaire de ces deux formations vous comprendrez qu’il est possible de construire au moins 2 emplois par département et 1 emploi par ville de plus de 20 000 habitants (ou bien une communauté de communes qui mutualiserait un poste)… Et que la somme des nouvelles connaissances acquises lors de ces deux formations en vaut vraiment la peine !
- 6) Et par rapport aux diplômes fédéraux ?
Si vous êtes intéressés par les diplômes fédéraux (reconnus par la FFE), venez à nos formations puis passez leurs diplômes, vous aurez largement plus de chances de les obtenir…
2016/2017 NDLR : depuis ces écrits de 2011/2012, la FFE et le PSEJE collaborent intelligemment et les formations IEPA sont finalement les DIFFE + DAFFE 1 + DAFFE 2 + DAFFE 3 réunit. Par ailleurs une convention a été signée par les 2 parties le 4 octobre 2013.
- 7) Vos formations pourront-elles être reconnues de manière définitive via un certificat, une carte professionnelle… ?
Assurément oui et non ! Expliquons cette réponse paradoxale : si elle débouche sur des embauches oui (par exemple sur le département du Rhône plusieurs personnes vont être embauchées suite à ces formations) mais lors de la dernière ligne droite il faudra mettre le précieux sésame (tampon !) de la Fédération Française des Échecs comme vous pourrez l’apercevoir dans ce document pdf.
Nous avons une totale confiance au Comité des Sages de la Fédération Française des Échecs qui, forcément, statuera dans ce sens devant le sérieux de notre travail, le chômage abyssal de notre pays et la précarité absolue de nos Intervenants (2016/2017 NDLR : c’est plus complexe que cela : voir les différents points développés ci-dessous).
- 8) Et si malgré cela vous n’arrivez pas à convaincre les Dirigeants de la FFE ?
Nous ajouterons un article de ce genre dans les statuts du PSEJE, qui deviendra alors l’association des Intervenants Échecs : « A partir de ce jour les Intervenants Échecs français sont membres de droit du PSEJE car :
– ce sont eux qui construisent et développent leur emploi,
– ce sont eux qui développent notre discipline sportive et éducative,
– ce sont eux qui sont sur le terrain et ce sont donc eux qui construisent en grande partie l’avenir de notre discipline,
– et assurément ce sont donc eux notre avenir. »
2016/2017 NDLR : depuis ces écrits de 2011/2012 et comme nous vous l’avions déjà indiqué, la FFE et le PSEJE collaborent intelligemment. Ainsi les nouveautés positives sont que de nouvelles commissions dans la FFE ont été créées et que de nombreux membres se coordonnent avec le PSEJE. Ils sont issus :
– de la Direction Nationale du Développement par l’emploi et la formation (DND),
– de la Direction Nationale de l’Entraînement et des métiers de la pédagogie (DNE),
– de la Direction Nationale du Handicap (DNH),
Et des membres issus de l’Association Échiquéenne Pour les Aveugles (AEPA).
De là, il faudrait déjà que la FFE pense à coordonner :
– sa Commission Culture,
– sa Commission Seniors,
– sa dynamique Commission Scolaires actuelle (les Directions Jeunes et Féminines sont assez indépendantes et puissantes actuellement).
Tout en pensant à créer un Pôle Stratégies d’Entreprises, qu’elle pourrait appeler « le Réseau des Stratèges » (Entreprises et Décideurs)
Actuellement, cet ensemble collabore sur plusieurs pistes communes (sans être encore coordonné) ce qui l’entraîne irrémédiablement – sans le savoir encore – dans la création d’un Centre National de la Formation (Centre Ressource) avec les retombées que vous pouvez imaginer…
« La FFE » veut dire que le Comité Directeur doit participer et s’investir dans cette dynamique (de surcroît dans le Comité Directeur fédéral, il y a plusieurs Présidents de Ligue, de Comités ou de membres des organismes déconcentrés de la Fédération : s’ils ne montrent pas le chemin qui le fera ?).
Enfin une rencontre annuelle des Coordinateurs de ces Commissions ou Pôles amènerait un développement serein et dynamique en roue libre.
PLAISIR, PASSION & COMPÉTENCES pourraient être les 3 mots de cette Croisée des Talents !
Pour le mandat de la FFE 2017/2020 à présent ?
- 9) Pourquoi avoir créé une veille documentaire ?
Les dirigeants de clubs, les animateurs et même les formateurs du Jeu d’Échecs :
– construisent et reconstruisent sans arrêt, chacun à leur manière et sans ligne directrice (depuis 1921 date de la création de la FFE !) divers documents de développement ou de cours et s’épuisent finalement continuellement.
– se posent les mêmes questions lancinantes telles que celles ci : Sommes-nous assurés ? Comment intervenir ? Comment avoir plus d’heures à prodiguer ? Comment développer le Jeu d’Échecs dans d’autres secteurs d’activités que les scolaires ? Bref comment vivre des Échecs et faire progresser l’ensemble sur le long terme ?
Au fil des années nous ne cessions de recevoir des appels téléphoniques nous demandant si nous avions tel ou tel document. Plutôt que de procéder à chaque fois au cas par cas, de devoir en créer un de temps en temps, de perdre du temps en recherches, nous nous sommes dit qu’il fallait prendre ce problème à bras le corps une bonne fois pour toutes !
- 10) Le PSEJE envoie des courriels à des centaines de joueurs d’échecs, vend des formations, c’est donc un organisme commercial ?
Non, le PSEJE est une association de loi 1901 (à but non lucratif donc).
S’il envoie des courriels au plus grand nombre c’est simplement pour les informer de son existence et de ce qu’il fait.
Son seul souci est d’œuvrer pour l’intérêt collectif, de la population échiquéenne bien sûr mais aussi de la population en général.
Il faut aussi pour vous en convaincre regarder dans notre rubrique « événements soutenus » les actions que nous accompagnons (cela peut-être des soutiens financiers ou humains). A l’issue de nos exercices comptables, qui sont échus le 31 décembre de chaque année (et que nous mettons en ligne), puis au fur et à mesure de nos assemblées (que nous mettons aussi en ligne) vous comprendrez mieux, à leurs lectures, la philosophie du PSEJE et de ses Dirigeants.
- 11) Vous écrivez que vous aidez financièrement ou humainement certains projets. Lesquels et pourquoi ?
En priorité ceux qui augmenteront l’assise des Intervenants Échecs via un projet social fort, transversal et transmissible dans d’autres régions.
Par exemple le public des non et mal voyants avec des Intervenants qui développent ce secteur sinistré, en collaboration avec l’AEPA, et notre participation dans les 3 derniers Championnats de France pour déficients visuels, sont des projets « Top Prioritaire PSEJE ».
Le public des trisomiques (par exemple le projet porté par le Menara Echecs Club de Marrakech) avec des Intervenants qui développent ce secteur sinistré est aussi un projet « Top Prioritaire PSEJE ».
Le Jeu d’Échecs, outil pour les patients en ateliers mémoire avec l’étude de son influence sur les patients venant en consultation mémoire et le Jeu d’Échecs, outil de Promotion du Vieillissement réussi en collaboration avec des Centres Régionaux de Prévention (CRP) sont sans conteste d’autres projets « Top Prioritaire PSEJE ».
- 12) Pourquoi ne pas se contenter des interventions dans les établissements scolaires ?
Pour 2 raisons :
1) Une raison économique : plus un salarié intervient dans différentes structures plus son poste devient pérenne et équilibré (les heures traditionnelles 11h30-13h30 et 16h45-18h, éventuellement accompagnées de l’accompagnement éducatif de 15h30 à 17h30 ou 16h30 à 18h30, représentent seulement un poste à mi-temps).
2) Une raison citoyenne : il est urgent d’étendre les activités Échecs auprès de différents publics, auprès de nos Aînés (vétérans, clubs du 3ème âge, foyers logement, EHPAD, etc.) et d’organiser des rencontres inter-générationnelles avec les centaines de jeunes initiés par nos intervenants fédéraux…
Nous sommes arrivés au constat que sans des animateurs rémunérés et formés finalement à tous les publics de la planète Échecs il ne pourra y avoir un vrai développement de notre jeu. En effet il faut que nous soyons plus nombreux et pour cela il faut créer des emplois en trouvant évidemment les financements afférents à la création de ces postes. Il faut diversifier tous nos publics : le seul domaine scolaire n’y suffira pas. Il faut ajouter la santé, les personnes âgées, les personnes en situation de handicap, les personnes médicalisées, les publics sensibles, etc.
Ainsi cet outil formidable qu’est le Jeu d’Échecs pourra enfin être utilisé à sa juste valeur… C’est mécanique, de nouveaux Intervenants se joindront aux anciens et commenceront à se dire : IEPA, ADDJE, pourquoi pas nous ?
Sinon ce sera toujours une petite poignée de passionnés, bénévoles ou semi-professionnels, certes de bonnes volontés, mais qui n’auront pas les moyens de leurs ambitions (ou doux rêves)…
Il faut que d’ici 2016-2017 nous ayons environ 300 IEPA et ADJE opérationnels (avec au moins 2 personnes par département) ! (2016/2017 NDLR : voir tous les points suivants pour s’apercevoir pourquoi finalement cela n’a pas été le cas).
- 13) Ne seriez-vous pas en train de préparer une liste pour les prochaines élections de la FFE de mars 2013 ? (Cette question date de 2011/2012 et vous connaissez en 2016/2017 la réponse…).
Réponse de 2011/2012 : Ce n’est pas l’objectif. Depuis plusieurs années nous informons régulièrement la FFE de nos avancées et projets. Nous souhaitons partager nos connaissances et structurer le secteur de la formation échiquéenne en France.
Il est d’ailleurs presque urgent que la FFE (créée en 1921 et qui est le référent d’une grande partie des intervenants français) nous rejoigne, ou que nous les rejoignions, afin de nous servir mutuellement d’aiguillon.
En conséquence nous avons proposé aux membres du Comité Directeur de la FFE des postes au Conseil d’Administration du PSEJE ainsi que dans nos diverses commissions.
2016/2017 NDLR : Vous connaissez là aussi à présent la réponse. Les membres du Comité Directeur de la FFE et les Présidents de Ligue (ou de Comités) ne l’ont pas fait, laissant le PSEJE motiver et entraîner une bonne partie des Direction Nationale du Développement par l’emploi et la formation (DND), de la Direction Nationale de l’Entraînement et des métiers de la pédagogie (DNE), de la Direction Nationale du Handicap (DNH) et des membres issus de l’Association Échiquéenne Pour les Aveugles (AEPA).
DOMMAGE ! Plusieurs années encore de perdues !
14) 2016/2017 NDLR : – Et cette fameuse lettre du MILLION sur 4 ans, lancée en mars 2013, qui devait servir en quelque sorte de feuille de route pour le mandat fédéral 2013/2017 ?
Oui, cette fameuse lettre qui a été tournée en dérision par quelques-uns et qui en a agacé plus d’un (dans les 2 sens !) dont Christophe LEROY ! En effet, la feuille de route était là et il fallait assurément la suivre. Pour mémoire la voici mais sans ce titre qui n’est pas de notre fait mais la teneur si ! Nous mettons, avec son accord, la lettre d’origine avec son vrai titre et son signataire et auteur principal.
Dresser un état des lieux de la FFE via la nouvelle Direction Nationale du Développement par l’emploi et la formation (DND) de la FFE et construire ce projet dynamique et forcé qui devrait amener un avenir meilleur à nos Ligues, nos Comités, nos Clubs, nos Dirigeants et nos Intervenants.
DOMMAGE ! Là encore plusieurs années de perdues ! Pour le mandat 2017/2020 alors ?
Enfin nous renvoyons les sceptiques à ce décret du 19 janvier 2000 (FFE fédération sportive) et leur renvoyons en miroir cette question : « Et en attendant qu’avons nous fait, ensemble, tout au long de ces 17 années passées ? »
Vous allez lu jusqu’ici ce que nous pensions en 2011/2012 : nous sommes à présent en 2016/2017 et plusieurs membres du PSEJE ont avancé avec la FFE et plusieurs ont pris une solide expérience…
15) Et maintenant nous en sommes où, vous en êtes où de vos (nos) avancées ?
Nous vous renvoyons à la rubrique Genèse de se site (http://pseje.com/genese-2/) et donc à la lecture de l’Histoire de ces 5 dernières années où vous constaterez des avancées via, par exemple, plusieurs conventions signées entre la FFE et d’autres organismes. Les Ligues, Comités et Clubs s’en servent-ils ? Ça c’est une autre Histoire !
16 et 17) Où en sommes nous dans cette idée de Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) ou de diplôme d’État dans les Échecs ? Dans cette idée de Fédération délégataire ?
Voici des extraits des demandes issues de la grille d’analyse des dossiers d’habilitation d’un futur diplôme d’État (vous avez dit Fédération délégataire ?).
Tout est dit dans ces 3 débuts d’annexe : Liste de nos ressources humaines ? Liste des employeurs potentiels pour nos intervenants ? Quelle réalité économique pour nos intervenants si on arrive à une montée en compétence de nos diplômes ? (Voir plus de précisions dans ce document en lien)
Ce sont les questions auxquelles il faudra, un jour, collectivement répondre si on veut passer à un stade supérieur dans le développement des Échecs en France.
>>>> A) Il faudra donc créer de nouveaux marchés (tout ceux que la Fédération n’a jamais développé : voir sur le site du PSEJE la rubrique « Champs d’Action »)
>>>> B) Il faudra donc déjà que les 200 premiers Clubs français (sur un peu plus de 900) remplissent le recensement général en ligne sur le site du PSEJE et de la FFE depuis déjà 2014 (Bien joué ! Le Label Club formateur informatisé force aussi quelque peu la main depuis 2013 à environ 80 Clubs !).
>>>> C) Il faudra que les Ligues, les Comités et les Clubs nous donnent la liste de leurs ressources humaines soit tout ce qui est déjà prêt à être remplit et déjà informatisé sur le site du PSEJE depuis au moins 2014…
Alors là, quand chacun aura enfin étudiés et compris ces enjeux, les Échecs en France pourront démarrer collectivement… Et nous pourrons commencer à travailler sérieusement…
Et de là nous pourrons répondre, peut-être, à cette autre question : notre Fédération pourra t-elle être une Fédération délégataire ?
18) Comment avoir accès finalement au CPF (Compte Personnel de Formation) ? Cela s’avère t-il possible à l’heure actuelle ?
Nous développerons ce point très prochainement mais il est forcément en relation avec les points 16 et 17 : c’est limpide.
19) Vous aviez soufflé l’organisation de Semaines Thématiques nationales à la Fédération Française des Échecs dès 2013 (Handicap, Santé, Seniors, Féminines, Culture, Pour tous, Scolaires). Quatre ont été finalement retenues. On ne peut pas dire que le succès a été au rendez-vous ? Qu’en pensez-vous ? Comment analysez vous cela ?
Ils est temps de former nos Dirigeants à cet ensemble car sinon c’est prêcher dans le désert ! Il est là encore évident que la centaine de Clubs français avec des Intervenants salariés ou bénévoles auraient du participer.
20) Vous avez aussi soutenu le dispositif des Services Civiques. Résultats ?
On sent un frémissement mais là aussi, on est à la traîne. C’est un problème de communication et d’énergie à plusieurs étages. En conclusion il faudra que beaucoup d’acteurs des Échecs français se remettent en question.